Sante en poupe

Voir le lien suivant : 

http://www2.unil.ch/edab/old/fr/publications/EuroBRAIN_10_Fr.pdf

Extrait :

Lorsqu’une cellule est au repos, elle est perméable au potassium: les canaux potassiques de sa membrane sont ouverts et les ions sont libres de se déplacer, selon certaines contraintes physicochimiques, de l’intérieur vers l’extérieur et vice-versa. Viana et Belmonte ont démontré que les neurones sensibles au froid réagissent au froid en fermant une partie de leurs canaux potassiques, ce qui dépolarise la cellule et l’amène rapidement à générer un signal électrique. Cette dépolarisation s’ajoute peut-être à celle que cause l’ouverture des TRPM sous l’effet du froid. A priori, toutes les fibres sensorielles ont des canaux potassiques et devraient donc répondre au froid. Belmonte et Viana ont découvert que les neurones insensibles au froid avaient, en plus des canaux potassiques normaux, un autre type de canaux, appelés IKD, qui dépendent du potentiel de membrane et sont peu nombreux sur les neurones répondant au froid. Ces canaux IKD auraient tendance à contrecarrer l’effet dépolarisant du froid et à s’opposer ainsi aux conséquences des baisses de mécanismes complexes. L’étape suivante consistera à déterminer en quoi les TRPM8, les ANKTM1 et les canaux potassiques non spécifiques concourent à la sensibilité thermique des neurones sensoriels détectant les réductions de température inoffensives et nocives. 

A relire encore les recherches de Michel Lazdunski :  http://www.cnrs.fr/cw/fr/pres/compress/MedOr2000.htm  au sujet du rôle du potassium : sensation, chaud/froid, ischémie, etc....dans tout le corps.

Voici un site que vous pouvez visiter sur le sujet et où vous pourrez signer une pétition sur le règlement européen en matière de protection de la culture bio :

http://www.natpro.be/

Le terme "bio" ne voudra-t-il bientôt plus rien dire ?

Lire l'article sur les pesticides :

• Depuis plus d’un demi siècle, les géants de la pétrochimie s’évertuent à mettre au point une gamme d’insecticides toujours plus effrayante. Pour eux, la protection de plantes cultivées ne peut passer que par une démarche de mort, une démarche en « -cide ». Ils ont ainsi proposé, à nos agriculteurs, une invraisemblable kyrielle de produits toxiques dont nous ne rappellerons jamais assez les risques et les dangers pour l’homme.

• Par Marc Fichers

http://www.natpro.be/pesticidesinfo.htm

Sur l'acceuil du site, si vous cliquer sur "Ed.permanente" et vous tombez sur : http://www.natpro.be/analyses.htm la page qui vous donne toutes les campagnes effectuées, les analyses, et comptes-rendus et études scientifiques.

Alors aussi ma question : quand fera-t-on le lien entre les analyses médicales de détection des produits qui portent un certain nom et le lien avec les noms des pesticides utilisés dans l'agriculture qui contiennent ces produits ? Dans quel pesticides ou fongicices se trouve le mercapto et mercaptobenzothiazole ? Où est la transparence pour le citoyen ?

Peut-être à rajouter dans votre combat Monsieur Fichier de Nature et Progrès Belgique ?

Car rien n'est clair dans l'utilisation des pesticides et l'impact sur l'homme et comment justement y voir clair ?

Le lien entre la pénétration des pesticides lorsque l'on mange des fruits contenant beaucoup de potassium me turlupine !

Je fais des fortes réactions dès que je mange des fruits à base de potassium (bananes par ex) mais aussi à moins fortes doses comme le pamplemouse, si sur une plus longue durée de temps.

Le potassium est par excellence le minéral qui est le champion des brûlures ! Et donc par conséquent, les fruits qui ont contiennent aussi. C'est également le minéral qui rentre et traverse les cellules. Et dès lors, ne favorise-t-il pas la pénétration des produits toxiques ?

Quelle coïncidence que je sois réactive au mercapto mix et benzothiazole qui sont aussi des produits contenus dans les pesticides et que en même temps je sois réactive au potassium.

Questions : les pesticides provoquent-ils un trouble ionique ? Ce qui serait à l'origine de beaucoup de maladies actuelles (spasmo, etc....).

A qui donner notre témoignage pour qu'il soit pris en compte ? Y a-t-il des organismes officiels ?

A-t-on des tests médicaux pour tester le taux des produits chimiques ingérés et présents chez l'homme ? Sinon comment prouvé quoi que ce soit ? Comment faire un recensement ?

Ici quelques réflexions sur le sujet : http://pesticides.free.fr/article.php3?id_article=1

Pourquoi ne met-on pas en garde contre l'ingestion du potassium même s'il est indispensable au corps humain ? (de même pour TOUS les autres minéraux). Pourquoi aucune notice dans les boîtes de ces minéraux. A quand les règlementations à ce sujet ?).

Les minéraux ont un gros impact dans la peau (je le vois bien maintenant avec mon problème aux doigts), pourquoi aucune interrogation de la part du médecin sur notre alimentation ? Car oui, elle a bien une influence sur la peau (et sur le fonctionnement des organes : irrités ou non). Va-t-on toujours nous maintenir dans un "état d'ignorance" à la merci de n'importe quoi ?  Il me semble bien que les firmes pharmaceutiques pratiquent l'omission volontaire lorsqu'il n'y a pas de notice. Et les minéraux sont vraiment très, très loin d'être innocents en la matière !

Il y a quelques jours, on a parlé à la TV française des firmes pharmaceutiques qui testent des nouveaux produits sur des cobayes humains en Inde (à leur insu ! Ils croient être soignés !). Une horreur n'est-ce pas !  Mais vous, moi et vous tous, sommes exatement employés de la même manière lorsque nous prenons des produits dits de "suppléments alimentaires", ne comportant aucunes notice, ni aucune information sur les effets secondaires.  Nous sommes cobayes des firmes pharmaceutiques qui lisent les témoignages sur Internet, les influences et apprenent du public d'éventuels effets secondaires à long termes. La réalité : nous sommes cobayes !

On reconnaît les additifs du caoutchouc comme étant de hauts toxiques dans la médecine du travail dans les écoles publiques de santé, comment se fait-il qu'à aucun moment on ne fait une prévention ? Dans la médecine sur l'environnement on n'en parle pas (je ne le vois pas sur les sites en Belgique), non plus sur l'énumération des matériaux toxiques à l'intérieur de sa maison ? Et pourtant, n'est-ce pas le produit que l'on touche le plus ? Pourquoi est-ce tout à fait sous-estimé ? (on n'arrive même pas à en avoir un diagostic, cela veut tout dire de la difficulté !).

Les médecins ne sont-ils pas mal formés à ce sujet ? Par exemple, une brûlure de gorge par un produit (potassium) va tout simplement apparaître comme une pharyngite (bien qu'il n'y ait pas de rhume, pas de toux, ni rien d'autre) et que si le patient ignore la cause, le médecin n'est pas prêt du tout à voir autre chose qu'un mal de gorge (simple exemple ici mais qui vaut pour tout ce qui concerne les aspects produits chimiques). De même pour le brûlant à l'estomac. De même pour les intestins irrités et sensibles, etc....

Quand va-t-on informer sur le côté toxiques de certains fruits ? On nous dit, c'est la grande mode d'en manger 5 par jour !  Mais bon dieu, on va se brûler avec certains fruits ?  On n'informe pas que le potassium brûle et il est compris dans beaucoup de fruits. Alors, à quand une information correcte ?

Si vous aussi avez des réflexions sur les produits chimiques ingérés, je vous invite à les posters en commentaire à ce message.

 J'ai entendu parlé de cela à la rtbf hier et je n'ai pas encore eu le temps de lire Internet à ce sujet. Je place quelques liens ici pour aller les consulter ensuite :

http://www.rtbf.be/info/international/ARTICLE_057718 

http://mouvements.be/dossiers/directive_reach.html 

http://www.vivantinfo.com/index.php?id=123 

http://www.cite-sciences.fr/francais/ala_cite/science_actualites/sitesactu/question_actu.php?langue=fr&id_article=5843 

http://www2.cnrs.fr/presse/journal/2651.htm 

http://www.vivantinfo.com/uploads/media/Chimie_europe.pdf 

http://www.greenpeace.org/raw/content/france/press/reports/tox-hors-la-loi.pdf

Si on pouvait s'occuper du caoutchouc présent de tous les côtés !!!!

Je trouve très à mon goût le jus de pamplemousse rosé tous les 2 jours environs.  Cela fait juste la taille d'un grand verre de bière (1 pamplemousse+le reste en eau+sucre+ mettre aussi de la pulpe du pamplemousse si vous passez le jus dans une petite passette pour les pépins). Alterner : un jour, jus de pamplemousse - un jour, un autre fruit (orange par ex.).

Sites d'infos :

• http://www.saveursdumonde.net/ency_4/agrumes/grapefruit.htm
• http://www.hc-sc.gc.ca/iyh-vsv/food-aliment/grapefruit-pamplemousse_f.html
• le journal des femmes : http://www.linternaute.com/femmes/cuisine/encyclopedie/fiche_composant/146/pamplemousse.shtml 

Au 7 février 2007 :

Je me suis encore irrité la gorge (très brûlée, gonflée, chute de tension et névralgie jusque dans l'oeil). J'alternais banane 1 jour, 1 jour sans rien, 1 jour pamplemouse,... Donc j'ai regardé mieux la combinaison de fruits avec le contenu du pamplemousse .  Attention il contient du potassium (voilà sans doute aussi le bon résultat tout autant que la brûlure de la gorge).  Voici son contenu sur ce site : http://www.e-sante.be/be/sante_magazine/dietetique_minceur/Pamplemousse_pomelo-1509-897-art.htm      

Copie : VALEUR NUTRITIONNELLE :

Pour 100 g : 30 Kcal.
Eau : 90 g. Protéines : 0,7 g. Glucides : 6 g. Lipides : 0,1 g.
Fibres : 1,3 g.
Potassium : 141 mg. Magnésium : 9 mg. Phosphore : 12 mg. Calcium : 19 mg. Fer : 0,2 mg.
Vitamine B1 : 0 mg. Vitamine B2 : 0 mg. Vitamine B6 : 0 mg. Niacine : 0,2 mg. Folates : 14 µg.
Vitamine C : 37 mg. Carotènes : 16 µg.
Vitamine A : 0 µg. Vitamine E : 0,2 mg.

Donc il faut faire attention et espacer ce fruit (comme la banane d'ailleurs) dans le temps lors de la consomation et alterner avec un fruit sans potassium.

Dommage car je l'aimais tant. Et je dormais bien en le consommant le soir juste après le repas. Prudence donc malgré certains bons côtés. Je cherche encore des infos sur son contenu.

Je viens de lire encore ceci : http://www.france-dermato.org/rdpint.php?numero=44&specialite=dermatologie 

Granulomes silicotiques après acupuncture :

L'introduction de silicone dans les tissus est responsable de granulomes à corps étrangers locorégionaux ou à distance, par migration lymphatique ou sanguine (main ou visage à partir de prothèses mammaires, dissémination de particules de silicone en aval des tubulures d'hémodialyse). Le débat sur le risque d'induire des maladies auto-immunes (ouvert à propos des prothèses mammaires) n'a débouché sur aucune conclusion formelle. Les dermatologues voient moins de granulomes silicotiques depuis que l'usage de la silicone pour combler les rides a été abandonné. La silicone employée pour enrober les aiguilles d'acupuncture est une cause exceptionnelle de granulomes cutanés. Cette femme de 59 ans consultait pour des papules orangées de 2 à 5 mm de diamètre des chevilles et du dos des pieds. Les biopsies ont montré, sous des remaniements eczématiformes et lichénoïdes de l'épiderme, un granulome à corps étranger du derme superficiel avec élastophagie et des vésicules macrophagiques contenant un dépôt amorphe. La radio pulmonaire et l'enzyme de conversion de l'angiotensine I étaient normales. Une seconde éruption papuleuse est apparue quelques mois plus tard sur les jambes et les membres supérieurs. La reprise de l'interrogatoire a alors permis de découvrir que la patiente avait subi des séances d'acupuncture pour une cheville douloureuse 6 à 12 mois avant la première poussée, puis d'autres piqûres sur les bras et les jambes avant la seconde. L'acupuncteur la soignait depuis bien plus longtemps mais avait adopté depuis peu des aiguilles gainées de silicone. L'éruption a régressé lentement après une corticothérapie locale forte ; elle n'a pas récidivé depuis que ce praticien emploie à nouveau des aiguilles non gainées. La présence de silicone dans la peau n'a pas été formellement prouvée dans ce cas, mais l'avait été par étude de la dispersion des RX dans une observation antérieure (Chun SI, Cho SW. Silica granuloma: scanning electron microscopy and energy dispersive X-ray microanalysis. J Dermatol. 1991 Feb;18(2):92-6.). La latence de ces réactions peut être longue (20 ans dans le cas de Chun), et la vogue actuelle de l'acupuncture donnera peut-être lieu dans quelques années à une épidémie retardée de granulomes silicotiques cutanés. Certains instruments chirurgicaux étant actuellement eux aussi gainés de silicone, on peut d'ailleurs se poser la question d'un risque plus

Je viens de lire un site qui parle des implants de silicone et des conséquences et je suis surprise de lire ceci :

http://www.infoscience.fr/dossier/biomateriaux/biomateriaux3.html

• Les préjudices de la silicone  

• Les premières applications esthétiques réalisées sans protection imperméable révélèrent la grande capacité migratoire des silicones. Des fabricants commercialisèrent alors dans les années 1960 des poches présumées hermétiques pour enfermer les silicones. Les ruptures et les fuites fréquentes trahirent cependant leur porosité et la toxicité des implants de silicone ; cette dernière passe à travers la poche et agresse les défenses naturelles (pour preuve, des lymphocytes porteurs d’antigènes anti-silicones furent trouvés chez les femmes implantées). Entre 1962 et 1992, ces femmes connurent des réactions immunitaires telle que la sclérodermie mais également des syndromes arthritiques et d’autres affections auto-immunitaires.
  La silicone représente la faille des biomatériaux : la multitude et la nouveauté des techniques et des matériaux proposés privent les médecins d’élément de comparaison et de connaissance sur les effets à long terme. Et pour le domaine des prothèses esthétiques, la dimension commerciale doit faire redoubler de prudence les clients potentiels.

Je suis surtout surprise justement par "des réactions d'arthrite". 

Je laisse à chacun tirer sa conclusion. 

Aujourd'hui 7 novembre 2006, j'ai encore lu un peu le Web et je suis tombée sur : http://www.info-implants.com/buts.html   : un site qui parle des implants toxiques et cela me semble très affolant.

J'ai trouvé un autre site où l'on dit que l'on a fait un arrangement pour que la silicone ne se répande plus - mais on n'a jamais dit qu'elle n'était pas dangereuse :  http://octesia.net/chirurgie-esthetique/silhouette/023-chirurgie-du-sein-protheses-mammaires-en-silicone.php    et donc ? 

Extrait de ce site:  "En effet, un petit nombre de femmes ayant bénéficié d'une augmentation mammaire par prothèse en gel de silicone présentèrent des signes cliniques tels qu'une profonde fatigue, des douleurs voire des destructions articulaires et toutes les complications parfois graves de ces maladies et qui sont les conséquences de la présence d'anticorps dirigés contre leur propre organisme. Les prothèses en gel de silicone furent alors immédiatement interdites aux États-Unis, ainsi que dans la plupart des pays européens, y compris en France." 

Octobre 2006 : autorisation au Canada de ré-introduire les implants mamaires en silicone : http://www.hc-sc.gc.ca/ahc-asc/media/nr-cp/2006/2006_103bk1_f.html  sous certaines conditions.

Un excellent savon qui peut remplacer tous les autres, shampoings y compris et qui donne d'EXCELLENTS résultats pour la peau : le savon fabriqué à l'ancienne tel le savon de Marseilles.

Voir : http://www.savon-de-marseille.com/fr/index.htm

Un internaute m' a renseigné son blog du Québec. Il parle de nombreux produits naturels comme aussi de la fabrication de savons. Voici pour le plaisir son blog : http://meselixirs.canalblog.com/  Il s'y trouve de nombreux conseils à lire.

Le savon noir :

voici ici un lien qui précise sa composition : http://raffa.over-blog.com/article-597450.html