Sante en poupe

Ce sujet à la pointe du progrès est en plein essor et recherches. J'ai déjà lu que le support sera la silicone et cela m'amène aux questions des allergies et surtout de celles des additifs du caouchtouc (voir mon blog 2 à ce sujet)

Pour l'instant voici un lien : http://www.ftu-namur.org/publications/publi-2.html

qui permet d'éditer la lettre 52 : L'évaluation sociétale des nanotechnologies: un tour d'Europe

et d'avoir un premier aperçu et des références.

Met-on également en ordre les tests de dépistage possibles pour les gens qui pourraient être réactifs aux médicaments et produits cosmétiques comprenant des nanoparticules ?  Que prévoit la Belgique sur le sujet ?

Aujourd’hui catastrophe ! J’ai été samedi pour m’acheter des gants en polyester un peu épais comme j’avais acheté il y a quelques mois et qui il me semblait allaient pour l’extérieur. Je regarde dans le magasin (Véritas) et je vois ces gants. Je vérifie l’étiquette et il s’y trouve marqué élasthanne (caoutchouc donc…) :  4 %. Voilà qui me saisit puisque l’année passée, les mêmes gants étaient notés comme 100% polyester. Je me dis que cela pourrait expliquer que mes doigts ne guérissent pas tout à fait si je porte des gants avec un pourcentage de caoutchouc.  Je cherche donc d’autres gants. En cuir dès lors puisque rien d’autre ne peut convenir. Je regarde l’étiquetage : 100 % cuir + 100% polyester pour la doublure. Je prends donc ces gants en pensant que je ne risque rien (25,00 Eur !).

Je les ai mis dimanche, lundi et mardi pour conduire ma voiture (donc 2 x 30 minutes/jour). Le lundi j’ai senti des picotements bizarres et diffus et mardi de même avec brûlure très nette et les mains qui chauffent et des marques rouges sur les anciennes plaies (dues au  mercapto mix et mercaptobenzothiasole   additif du caoutchouc). Le mardi soir, je me suis dit que le polyester devait contenir de l’élasthanne et qu’on ne l’avait pas signalé sur l’étiquette. Et mardi, dans la nuit est apparu de la dysidrose sur les mains.

J’ai donc retourné les gants et coupé la doublure en bas. Pour en avoir le cœur net. J’ai remis les gants SANS la doublure mercredi : plus de brûlure. Cela semblait donc signifier que c’était bien la doublure avec l’effet le plus intense.  Mais le soir, j’ai porté un sac plus lourd et j’ai tout de même senti des picotements.  Je n’ai donc pas remis ces gants.

2 possibilités :

-          ou de l’élasthanne dans le polyester et dans ce cas : l’étiquetage n’est plus du tout une sécurité et c’est un véritable danger.

-          ou il y a des produits chimiques dans le cuir des gants. Ici un bon article fait par un médecin sur le cuir des chaussures ici : http://www.infal-derm.be/fschoen.htm  Et ce qui est frappant outre tous les produits chimiques possibles, c’est que l’on pulvérise parfois du silicone sur le cuir !  Un comble !  Alors que j’ai porté des gants militaires en cuir blanc (d’il y a 20 ans et qui étaient dans mon tiroir) plusieurs fois depuis septembre 2007 pour faire du sport et tout s’est bien passé à chaque fois et la peau a très bien respiré.

C’est bien donc et la doublure et le cuir sans doute recouvert de produit qui sont responsable de réactions violentes après port de ses gants.

Voici mes trouvailles très intéressantes.

Je suis retournée au magasin voir et photographier les étiquettes et prendre les numéros de références des articles. La vendeuse me dit que c’est du polar pour le polyester.

Le gant polyester et élasthanne le voilà sur l’album photo du blog, c’est le gant gris-bleu marqué « flexitron et qui indique 4% d’élasthanne.

De l’info sur l’étiquette trouvée ici : Flexitron polyester : http://www.gamisport.cz/xVP-colmar-5177-rukavice (merci à ce fabricant d’être sincère et d’afficher le contenu en élasthanne. Cela me permet de voir clair et peut-être ici d’avoir la clé de l’énigme et de comprendre pourquoi les doigts ne guérissent pas).

Les tissus en polar : http://www.courrierahuntsic.com/article-118290-Les-vieux-polars-pour-aider-lenvironnement.html  : danger ! On récolte n’importe quel tissus marqué polyester (sans vérifier s’ils contiennent encore autre chose) et  extrait : « - Les clients sont invités à y déposer leurs vêtements usagés. Seule exigence : ils doivent contenir au moins 90 % de polyester… et être propres!)
Et qu’en est-il des 10 % restant ????

Bypass gastrique : risques à long terme – danger !

Une personne de ma famille s’est fait opérée et  a donc fait placer un « bypass ». Cette personne a 34 ans et pesait 106 kg pour environ 1,60m. L’opération s’est bien passée.

Nous sommes maintenant quelques mois plus tard et elle vient de se faire hospitalisée pour occlusion intestinale.

Après lui avoir rendu visite en clinique, je suis stupéfiée de son ignorance quand au détail de l’opération du « bypass ». Elle pensait qu’on n’avait touché qu’à l’estomac !

Là, je ne comprends pas du tout comment se sont passé les renseignements avec le médecin qui a fait l’opération ?

L’a-t-on bien informée ?  Vu qu’elle est peu instruite. Une proie idéale en fait. Ou n’a –t-elle compris que la moitié ?

Ce qui me décide donc à écrire ces quelques mots. Voici ce que je pense :

Vous les gens enveloppés, avez de réelles difficultés à gérer votre alimentation et à réaliser un équilibre. De là, votre désir de cette opération, car pensez-vous, elle va régler pour vous votre incapacité à faire un compromis dans votre alimentation.

Mais en vérité, c’est l’opération qui va vous plonger à long terme dans le déséquilibre le plus total. Et dès lors si vous ne pouvez apprendre à gérer l’alimentation vous allez droit sur des catastrophes.

Pour info, la prise de vitamines B en supplément, est irritante pour l'estomac et l'intestin jusqu'à les brûler.  On ne peut donc prendre ces vitamines en permanence. Votre médecin vous l'a-t'il dit ?

D’abord il vous faut prendre garde des beaux sites d’information médicale trouvés sur Internet. Les firmes pharmaceutiques et médicales sont passé maîtres dans l’art de la publicité afin de rendre beau, enviable ce que l’on veut bien vous montrer et minimiser et réduire les conséquences et les camoufler ou les omettre. Il faut donc apprendre à lire l’Internet et aussi se méfier des forums.

Quelques sites qui listent les conséquences du « bypass » :

• http://www.familledamien.ch/bypass/Les%20complications%20du%20by.pdf 
• http://www.obesity-diet.com/bypass-resultats-ulcere-stenose-anastomose-occlusion-supplements-L1-D15-N135.html 
• http://cat.inist.fr/?aModele=afficheN&cpsidt=17107609 
• http://www.chirurgie-digestive.com/index.php?fiche=49&sommaire=2 

Il est malheureux que l’on ne détaille pas plus chaque possibilité de conséquence de cette opération et que l’on ne l’explique en termes plus compréhensibles pour des gens non scientifiques.

Avant de faire cette opération dites-vous bien qu’elle est irréversible et qu’elle est en vérité une véritable mutilation des organes vitaux – c’est pas une mutilation de peau, ou de sein, ou d’un visage, tout ce qui est secondaire à la vie, mais bien une mutilation d’organes indispensables à la vie.

Epuisez donc avant cette opération, toutes les autres possibilités existantes : comme un vrai régime médical sous surveillance d’un médecin reconnu et officiel. Ces régimes draconiens  seront toujours moins contraignant que ce que vous allez vivre après le « bypass » et ils fonctionnent en général si vous les suivez bien.

J’aimerais d’abord donner ici un bon texte pour les occlusions intestinales et vous comprendrez quel risque vous courrez avec ce problème au sujet de vos intestins :

http://www.france5.fr/sante/maladie/W00479/12/ 

Extrait :

Enfin, le troisième engendre une occlusion par strangulation. L'intestin se retrouve coincé dans une hernie - un trou dans la paroi abdominale -, ou dans ce que l'on appelle une bride, sorte de petit filament qui se tend entre la paroi de l'abdomen et l'intestin. C'est en fait un tissu cicatriciel résultant d'une intervention chirurgicale, après appendicite, par exemple. Il arrive alors que l'anse intestinale se torde autour d'une bride, provoquant une occlusion. 

C'est de loin la forme la plus fréquente. Il s'agit même d'un véritable enjeu de santé publique car chaque personne opérée du ventre peut un jour ou l'autre faire une occlusion sur bride. 

L'occlusion intestinale est une véritable urgence médicale, qui nécessite une hospitalisation extrêmement rapide. L'opération s'avérant souvent la seule solution pour y remédier. 

A l'issue de l'opération, le patient peut retourner à une vie normale. Enfin presque... Car en fait, c'est un vrai cercle vicieux : chaque opération de l'abdomen entraînant la formation d'une bride, elle augmente par la même occasion le risque pour le patient d'être à nouveau sujet à une occlusion... C'est ce qui est arrivé à Emmanuelle : opérée d'une péritonite à 18 ans, elle a enchaîné une douzaine d'occlusions en à peine cinq ans... 

J’espère qu’on vous avertit de ce risque avant l’opération ?

J’espère que la personne de ma famille ne va pas enchaîner opération sur opération. Elle a une belle cicatrice de 30 cm sur le ventre et est sous morphine.

J’aimerais vous dire aussi que lorsque le « bypasss » est installé et que inévitablement vous êtes projeté dans une situation de manque puisque dans l’impossibilité dorénavant d’assimiler B12, Ca, Fer, etc….vous serez donc obligé de procéder par supplémentassions artificielles. Et,…c’est là que le bas blesse !!!!!

(une parenthèse : avez-vous bien calculé combien cela allait vous coûter par mois et ceci à vie ?).

En effet, je vous demande de bien vouloir lire ici les informations sur les minéraux quand vous les prenez sur une longue période de temps (c’est mon expérince) :

-          http://www.spasmophilie-et-organe-peau.be/Effets-secondaires-mineraux-calcium-potassium-mg.htm

-          http://www.spasmophilie-et-organe-peau.be/Spasmo-organe-peau-mineraux.htm - prenez bien garde à la fameuse Loi de Loeb.

Petite note supplémentaire :

-          le calcium et le potassium sont deux opposés et ils travaillent à tour de rôle : le calcium constipe tout à fait et le potassium c’est l’inverse et peut même irriter et brûler les intestins. Mais si votre prise de calcium sur une longue échéance vous constipe, vous avez la possibilité de l’échanger un certain temps par le potassium qui va le diluer. Mais avez-vous demander au médecin si au lieu de suppléments il ne vaut pas mieux manger des fruits ?

-          A noter aussi : la prise de Vitamines B12 et les autres vit B est également très irritante pour les intestins.

Il est difficile d’équilibrer la prise de minéraux sur un long terme et il faut être très vigilant pour les absorber en équilibre.

La véritable solution, c’est les prendre en petites quantités mais pas tous les jours. Il faut des passages à vide et il faut pouvoir inverser leurs effets respectifs si l’on sent que l’on bascule vers un déséquilibre de l’un ou de l’autre.

Prenez garde, encore une fois que de la publicité POUR les compléments alimentaires sans mises en garde des effets secondaires !  Et pourtant, les minéraux sont dangereux !

Et aucun médecin ne vous mettra en garde sur le long terme car jusqu’à maintenant cela ne s’est jamais fait comme observation et étude (sur le long terme) et cela relève d’étude complexes et très élaborées et certains centres de recherches planchent sur ces sujets très complexes d’observations. On ne peut donc pas vous affirmer on confirmer quoi que ce soit.

La supplémentation artificielle régulière est donc dangereuse car effets mal connus et sous-estimés. Attention donc !!!!!

Voilà mes quelques pensées. J’espère attirer l’attention des lecteurs et lectrices afin que tous vous puissiez être méfiants et prudents.

De plus je suis très perplexes quand à vos vieux jours ?  Car nos organes sont notre réserve, notre support et notre soutien quand on vieillit et étant vieux lorsque certaines parties du corps tombent faibles et malades, d’autres parties du corps prennent le relais et nous maintiennent en vie.  Qu’en sera-t-il de vous puisque étant dans un déséquilibre permanent avec le bypass ?  Comment être solide devant la vieillesse ?  De combien d’années vous aura-t-on écourté votre vie ?   L’avenir dira si je suis pessimiste ou si votre bypass sera un calvaire dans vos vieux jours ?   Bonne chance !

Je viens de lire les sites suivants : http://www.vigne-vin.com/VVPI_Site/webpagesFR/r_main/Fiches/34_2_5.htm 

Détermination de benzothiazole dans les raisins et les vins :

Résumé : Le benzothiazole a été dosé dans les raisins des cépages Muscat Lefko de l’île de Samos et Muscat d’Alexandrie de l’île de Lemnos, issus de parcelles différentes quant à l’altitude, la composition du sol et l’exposition au soleil, et dans les vins correspondants. Ce composé a également été déterminé dans les raisins de dix autres cépages blancs cultivés en Grèce et dans les vins correspondants. Les résultats montrent que cette substance est présente dans tous les raisins examinés ; elle pourrait être formée au cours de la maturation du raisin. Les teneurs en benzothiazole des vins blancs grecs varient de 0.8 à 6.1 µg/l ; elles sont toujours inférieures au seuil de perception.  

Mots clés : Benzothiazole, composés soufrés, vins grecs  

correspondance : wineinst@otenet.gr 

http://cat.inist.fr/?aModele=afficheN&cpsidt=1347796 

Benzothiazoles are a part of the molecular structure of a large number of natural products, biocides, drugs, food flavors, and industrial chemicals. They also appear in the environment mainly as a result of their production and use as rubber vulcanization accelerators. A new headspace solid-phase microextraction (HS-SPME) method for analysis of benzothiazole (BTH) in wine is described. This method is fast, inexpensive, and does not require solvents. The detection limit of BTH in wine was 45 ppt with linearity up to 100 ppb. The quantification of BTH is performed by the standard additions method and does not require the use of an internal standard. We have analyzed 12 wines from different grape varieties grown in several regions, using SPME extraction and gas chromatography-mass spectrometry (GC-MS) detection. Under these experimental conditions, benzothiazole was found in all wines analyzed. Concentration levels in samples varied from 0.24 μg/L (Vermentino) to 1.09 μg/L (Franciacorta).  Et pour les arômes :    http://www.unice.fr/lasi/aromes/ac-pub.pdf (qui peut me dire à quoi sert les benzothiazoles caoutchouc noté dans le tableau ?).

Et cela semble m’apporter des explications quand aux réactions violentes que j’ai eue dans la gorge en mangeant des raisins. Mais aussi un autre fait que je relate ici : J’ai donc fait la chasse aux additifs du caoutchouc fermement depuis avril 2006 où j’ai tout supprimé – éviction de tout le plus possible !  ( voir : http://www.spasmophilie-et-organe-peau.be/Spasmo-organe-peau-CV.htm ) Et tout va beaucoup mieux – peau blanche – sommeil bon – mais difficulté sur les doigts suivant l’ingestion ou non de certains minéraux. 

Mais visage très bien récupéré et plus d’application de cortisone (parfois 1fois par mois). Cela, c’est une magnifique victoire (plus de shampoing siliconé qui vient alimenter les irritations). 

Mais voilà qu’en juin, nous allons au restaurant avec des amis – repas normal sans extras concernant les mets. C’est fête et je consomme du vin pendant le repas et après.  

Et le soir, la nuit, gonflement des intestins, mal d’estomac et je n’ai pas fermé l’œil de la nuit. Cela m’arrive souvent et même de façon systématique quand je bois du vin. Mais alors, le lendemain, le visage a,  à nouveau,  toutes les irritations présentes, et cela chatouille fort. Je suis obligée d’appliquer de la cortisone (qui n’arrive presque pas à stopper le chatouillement) et cela a duré plus de 24h. 

Sur le moment, je n’ai pas compris ce qui se passait puisque je n’ai rien touché en caoutchouc ni côtoyé de lieu en comprenant. C’est donc inexpliqué.  

Mais, en lisant des documents qui parlent d’allergies, il est dit que lorsqu’on a fait l’éviction et que cela semble donc calmé et sous contrôle, il se peut qu’en présence d’une petite quantité de l’allergène, on replonge alors dans toutes les manifestations !

Il semblerait que cela puisse correspondre avec le vin et le benzothiazole qu’il pourrait contenir même en petite quantité.

 Et si oui, dans ce cas, il faut vraiment que l’on aborde le caoutchouc sous l’aspect alimentaire. Ce qui n’est pas fait actuellement et qui est tout à fait sous-estimé. 

Rien dans les écrits scientifiques ne conseille les patients au sujet de l’alimentation ou de la présence des mercaptos et benzothiazoles dans les aliments. 

De même en ce qui concerne les emballages alimentaires. 

La personne touchée par le caoutchouc réagit à ces produits même quand ils sont sous la norme. Il faut donc que l’on soit renseigné du contenu des aliments à ce sujet même si sous la norme. 

Quelqu’un a-t-il des liens et informations quant aux additifs du caoutchouc présents dans l’alimentation et les fruits ?

Sur le côté de ce blog figure des photos de chaussures faites sur mesure et en cuir.

Elle peuvent se mettre comme chaussures de sport car très souples et surtout isolées de la semelle de caoutchouc par une semelle de cuir répondant aux normes légales concernant l'isolation par rapport au caoutchouc - c'est-à-dire un minimum de 4mm pour la semelle de protection. Ici un document sur la loi belge qui dit bien qu'il faut une épaisseur d'au moins 3mm en cuir en protection : http://www.cesi.be/UPLOADS/1608200515033333932.pdf

Je vous met au défi de trouver un soulier de sport répondant à ce critère en magasin !

On devrait surtout prendre des mesures légales, avec contrôle légaux quand aux chaussures de sport et leur sécurité pour le pied. Ce qui n'est très certainement pas le cas actuellement sur le marché belge.

A qui communiquer son problème de contamination par les additifs du caoutchouc ?

Bien que ces produits soient connus légalement, comment se faire reconnaître officiellement comme atteint et comment être pris en charge dans sa vie et dans les hôpitaux ?

Suggestion : il faut écrire et faire connaître au gouvernement ce qui arrive et qu'il soit informé. C'est la première étape.

Plusieurs possibilités :

• http://socialsecurity.fgov.be/FR/index.htm
  SPF Sécurité Sociale, Eurostation II, Place Victor Horta 40 boîte 20, 1060 Bruxelles
  Tél: 02 528 60 11
  Information générale :    social.security@minsoc.fed.be   , Tél: 02 528 60 31
  
  
• https://portal.health.fgov.be/portal/page?_pageid=56,512460&_dad=portal&_schema=PORTAL
  Guichet d'information Environnement
  SPF Santé publique, Sécurité de la Chaîne alimentaire et Environnement
  Direction générale Environnement, Place Victor Horta 40, boîte 10, 1060 Bruxelles
  Tél. : 02/524 95 26       Fax : 02/524 95 27     E-mail : info_environment@health.fgov.be
  
  

https://portal.health.fgov.be/portal/page?_pageid=118,8292438&_dad=portal&_schema=PORTAL
Le site « aarhus.be »     La rédaction de ce site est coordonnée par le Service public fédéral Santé publique, Sécurité de la chaîne alimentaire et Environnement. Les informations qu’il contient sont publiées en collaboration et concertation entre le SPF et les différentes autorités régionales compétentes

J'ai fait le résumé de la valeur nutritive des fruits classiques d'après Wikipédia

Valeur nutritive des fruits en Mgramme par 100gr :

Rajout :  Pêche : P: 190mg, Ca:6mg, Mg:9mg

Et je suis perplexe en ce qui concerne la quantité de potassium de certains fruits par rapport à d'autres et aussi par conséquent la réaction d'irritation plus rapide à ce fruit en raison de son taux de potassium.

Et aussi, le fait des allergies croisées latex/fruits serait-il lié à la façon dont on supporte le potassium ?

Il est étonnant que l'on cite le pissenlit comme ayant également du latex naturel au même titre que l'hévéa et que très étonnant, ...j'ai un jour pris un supplément de jus de pissenlit et j'ai eu une réaction anormale  du cuir chevelu qui a fait des pellicules en quantité phénoménale (il paraît que cela peut se passer chez certaines personnes).

Le fait que le pissenlit contienne du latex et que j'ai cette réaction est étonnant.

Je pense que ce que nous dit la médecine au sujet du latex, du potassium, des additifs et toxiques n'est pas assez approfondi et incomplet.

J'ai lu également que le DDT contiendrait aussi des mercapto. J'ai été bébé en Afrique où des tonnes de DDT étaient déversées. Un lien à y voir ?

Est-il possible de déterminer la qualité de la peau et de savoir si on est dans les normes ou si on est un cas particulier ? 

Je verse ici ce que je trouve comme liens qui s'attardent à la qualité de la peau/

• http://www.cnrs.fr/cw/dossiers/doschim/decouv/peau/loupe_relief_cutane.html
• http://www.tournai.be/fr/commerces/index.php?page=395
• http://www.genopole.org/html/fr/presse/communiques/060607-comm-cea.htm

LIens sur le génome - génétique :

http://www.gensuisse.ch/focus/gendiag/dok_med_gendiag_f.html

• http://www.theses.ulaval.ca/2006/23898/ch01.html

http://www.admin.ch/ch/f/ff/2002/6841.pdf

• http://ifr69.vjf.inserm.fr/~webifr/pdf/3-IFR69_J-CLAVEL.pdf

http://www.inra.fr/genomique/questceque.html

Autres :

• http://doccismef.chu-rouen.fr/servlets/Logique?Mot=syst%C3%A8me+t%C3%A9gumentaire.mc&aff=4&tri=20&datt=1&debut=0

Voici le lien à lire :

http://www.antidote-europe.org/medecins_fr.htm

Sur la toxicogénomique, les tests et recherches de produits chimiques sur des cellules humaines. Et donc sans doute une science d'avenir pour demain. Pourra-t-on détecter si des produits chimiques sont succeptibles de traverser nos cellules, par un échantillon de notre peau suivant les caractéristiques de chacun ?  Une détection à la carte sur demande ?

Extrait :

• Antidote Europe est une association à but non lucratif créée par des chercheurs issus du CNRS, dont certains ont participé à l'organisation de deux Ateliers européens de toxicologie cellulaire et moléculaire. Nous avons présenté notre approche de la toxicogénomique au Parlement européen, qui l'a admise lors du vote sur REACH en première lecture. .

Voici un lien qui à la page 25 parle des recherches sur le sommeil : http://www4.banq.qc.ca/pgq/2005/3086491/36.pdf 

Extrait  :

• LE SOMMEIL COMME « FENÊTRE » SUR LES CONNEXIONS ENTRE LE CERVEAU ET LE COEUR
  L’un des grands intérêts d’étude de la Dre Paola Lanfranchi est le lien existant entre le cycle veillesommeil et le système nerveux autonome, spécialement dans sa portion cardiovasculaire. Comme ces deux « systèmes » interagissent sur plusieurs plans, le sommeil constitue selon elle un modèle intéressant pour évaluer les connexions entre le cerveau et le coeur, et plus particulièrement celles pouvant affecter le fonctionnement et l’électrophysiologie cardiaques, notamment dans des situations pathologiques. Dans cette recherche, la Dre Lanfranchi envisage d’évaluer l’interaction entre la fonction autonome cardiovasculaire et le cycle veille-sommeil, en montrant comment cette interaction peut varier selon quatre paramètres : l’âge, un dysfonctionnement du système nerveux autonome, la présence d’un trouble du sommeil, une maladie cardiaque. Le but ultime de son travail est de vérifier si des changements de la fonction autonome cardiovasculaire, au cours du cycle veille-sommeil, pourraient représenter des conditions de risque cardiovasculaire augmenté.

La connexion du coeur est tout à fait liée  dans le sommeil ainsi qu'avec une sensibilité émotionelle. Dès qu'on prend du potassium qui ralenti le coeur, il y a une influence directe sur le sommeil et un arrêt de l'état émotionnel qui arrête de se déclencher et de s'emballer, et tout se stabilise merveilleusement.
Il serait peut-être intéressant d'en faire part à cette chercheuse le Dr P.Lanfranchi.

Site du Dr P.Lafranchi :  http://translate.google.com/translate?hl=fr&sl=en&u=http://www.css.to/&sa=X&oi=translate&resnum=1&ct=result&prev=/search%3Fq%3Dwww.css.to%2B%26hl%3Dfr%26sa%3DG

Et les fichiers à télécharger avec des conseils sur le sommeil : http://translate.google.com/translate?hl=fr&sl=en&u=http://www.css.to/&sa=X&oi=translate&resnum=1&ct=result&prev=/search%3Fq%3Dwww.css.to%2B%26hl%3Dfr%26sa%3DG