Les additifs du caoutchouc dans le vin, les raisins, les arômes ?

Je viens de lire les sites suivants : http://www.vigne-vin.com/VVPI_Site/webpagesFR/r_main/Fiches/34_2_5.htm 

Détermination de benzothiazole dans les raisins et les vins :

Résumé : Le benzothiazole a été dosé dans les raisins des cépages Muscat Lefko de l’île de Samos et Muscat d’Alexandrie de l’île de Lemnos, issus de parcelles différentes quant à l’altitude, la composition du sol et l’exposition au soleil, et dans les vins correspondants. Ce composé a également été déterminé dans les raisins de dix autres cépages blancs cultivés en Grèce et dans les vins correspondants. Les résultats montrent que cette substance est présente dans tous les raisins examinés ; elle pourrait être formée au cours de la maturation du raisin. Les teneurs en benzothiazole des vins blancs grecs varient de 0.8 à 6.1 µg/l ; elles sont toujours inférieures au seuil de perception.  

Mots clés : Benzothiazole, composés soufrés, vins grecs  

correspondance : wineinst@otenet.gr 

http://cat.inist.fr/?aModele=afficheN&cpsidt=1347796 

Benzothiazoles are a part of the molecular structure of a large number of natural products, biocides, drugs, food flavors, and industrial chemicals. They also appear in the environment mainly as a result of their production and use as rubber vulcanization accelerators. A new headspace solid-phase microextraction (HS-SPME) method for analysis of benzothiazole (BTH) in wine is described. This method is fast, inexpensive, and does not require solvents. The detection limit of BTH in wine was 45 ppt with linearity up to 100 ppb. The quantification of BTH is performed by the standard additions method and does not require the use of an internal standard. We have analyzed 12 wines from different grape varieties grown in several regions, using SPME extraction and gas chromatography-mass spectrometry (GC-MS) detection. Under these experimental conditions, benzothiazole was found in all wines analyzed. Concentration levels in samples varied from 0.24 μg/L (Vermentino) to 1.09 μg/L (Franciacorta).  Et pour les arômes :    http://www.unice.fr/lasi/aromes/ac-pub.pdf (qui peut me dire à quoi sert les benzothiazoles caoutchouc noté dans le tableau ?).

Et cela semble m’apporter des explications quand aux réactions violentes que j’ai eue dans la gorge en mangeant des raisins. Mais aussi un autre fait que je relate ici : J’ai donc fait la chasse aux additifs du caoutchouc fermement depuis avril 2006 où j’ai tout supprimé – éviction de tout le plus possible !  ( voir : http://www.spasmophilie-et-organe-peau.be/Spasmo-organe-peau-CV.htm ) Et tout va beaucoup mieux – peau blanche – sommeil bon – mais difficulté sur les doigts suivant l’ingestion ou non de certains minéraux. 

Mais visage très bien récupéré et plus d’application de cortisone (parfois 1fois par mois). Cela, c’est une magnifique victoire (plus de shampoing siliconé qui vient alimenter les irritations). 

Mais voilà qu’en juin, nous allons au restaurant avec des amis – repas normal sans extras concernant les mets. C’est fête et je consomme du vin pendant le repas et après.  

Et le soir, la nuit, gonflement des intestins, mal d’estomac et je n’ai pas fermé l’œil de la nuit. Cela m’arrive souvent et même de façon systématique quand je bois du vin. Mais alors, le lendemain, le visage a,  à nouveau,  toutes les irritations présentes, et cela chatouille fort. Je suis obligée d’appliquer de la cortisone (qui n’arrive presque pas à stopper le chatouillement) et cela a duré plus de 24h. 

Sur le moment, je n’ai pas compris ce qui se passait puisque je n’ai rien touché en caoutchouc ni côtoyé de lieu en comprenant. C’est donc inexpliqué.  

Mais, en lisant des documents qui parlent d’allergies, il est dit que lorsqu’on a fait l’éviction et que cela semble donc calmé et sous contrôle, il se peut qu’en présence d’une petite quantité de l’allergène, on replonge alors dans toutes les manifestations !

Il semblerait que cela puisse correspondre avec le vin et le benzothiazole qu’il pourrait contenir même en petite quantité.

 Et si oui, dans ce cas, il faut vraiment que l’on aborde le caoutchouc sous l’aspect alimentaire. Ce qui n’est pas fait actuellement et qui est tout à fait sous-estimé. 

Rien dans les écrits scientifiques ne conseille les patients au sujet de l’alimentation ou de la présence des mercaptos et benzothiazoles dans les aliments. 

De même en ce qui concerne les emballages alimentaires. 

La personne touchée par le caoutchouc réagit à ces produits même quand ils sont sous la norme. Il faut donc que l’on soit renseigné du contenu des aliments à ce sujet même si sous la norme. 

Quelqu’un a-t-il des liens et informations quant aux additifs du caoutchouc présents dans l’alimentation et les fruits ?