Je trouve très à mon goût le jus de pamplemousse rosé tous les 2 jours environs.  Cela fait juste la taille d'un grand verre de bière (1 pamplemousse+le reste en eau+sucre+ mettre aussi de la pulpe du pamplemousse si vous passez le jus dans une petite passette pour les pépins). Alterner : un jour, jus de pamplemousse - un jour, un autre fruit (orange par ex.).

Sites d'infos :

• http://www.saveursdumonde.net/ency_4/agrumes/grapefruit.htm
• http://www.hc-sc.gc.ca/iyh-vsv/food-aliment/grapefruit-pamplemousse_f.html
• le journal des femmes : http://www.linternaute.com/femmes/cuisine/encyclopedie/fiche_composant/146/pamplemousse.shtml 

Au 7 février 2007 :

Je me suis encore irrité la gorge (très brûlée, gonflée, chute de tension et névralgie jusque dans l'oeil). J'alternais banane 1 jour, 1 jour sans rien, 1 jour pamplemouse,... Donc j'ai regardé mieux la combinaison de fruits avec le contenu du pamplemousse .  Attention il contient du potassium (voilà sans doute aussi le bon résultat tout autant que la brûlure de la gorge).  Voici son contenu sur ce site : http://www.e-sante.be/be/sante_magazine/dietetique_minceur/Pamplemousse_pomelo-1509-897-art.htm      

Copie : VALEUR NUTRITIONNELLE :

Pour 100 g : 30 Kcal.
Eau : 90 g. Protéines : 0,7 g. Glucides : 6 g. Lipides : 0,1 g.
Fibres : 1,3 g.
Potassium : 141 mg. Magnésium : 9 mg. Phosphore : 12 mg. Calcium : 19 mg. Fer : 0,2 mg.
Vitamine B1 : 0 mg. Vitamine B2 : 0 mg. Vitamine B6 : 0 mg. Niacine : 0,2 mg. Folates : 14 µg.
Vitamine C : 37 mg. Carotènes : 16 µg.
Vitamine A : 0 µg. Vitamine E : 0,2 mg.

Donc il faut faire attention et espacer ce fruit (comme la banane d'ailleurs) dans le temps lors de la consomation et alterner avec un fruit sans potassium.

Dommage car je l'aimais tant. Et je dormais bien en le consommant le soir juste après le repas. Prudence donc malgré certains bons côtés. Je cherche encore des infos sur son contenu.

Je viens de lire encore ceci : http://www.france-dermato.org/rdpint.php?numero=44&specialite=dermatologie 

Granulomes silicotiques après acupuncture :

L'introduction de silicone dans les tissus est responsable de granulomes à corps étrangers locorégionaux ou à distance, par migration lymphatique ou sanguine (main ou visage à partir de prothèses mammaires, dissémination de particules de silicone en aval des tubulures d'hémodialyse). Le débat sur le risque d'induire des maladies auto-immunes (ouvert à propos des prothèses mammaires) n'a débouché sur aucune conclusion formelle. Les dermatologues voient moins de granulomes silicotiques depuis que l'usage de la silicone pour combler les rides a été abandonné. La silicone employée pour enrober les aiguilles d'acupuncture est une cause exceptionnelle de granulomes cutanés. Cette femme de 59 ans consultait pour des papules orangées de 2 à 5 mm de diamètre des chevilles et du dos des pieds. Les biopsies ont montré, sous des remaniements eczématiformes et lichénoïdes de l'épiderme, un granulome à corps étranger du derme superficiel avec élastophagie et des vésicules macrophagiques contenant un dépôt amorphe. La radio pulmonaire et l'enzyme de conversion de l'angiotensine I étaient normales. Une seconde éruption papuleuse est apparue quelques mois plus tard sur les jambes et les membres supérieurs. La reprise de l'interrogatoire a alors permis de découvrir que la patiente avait subi des séances d'acupuncture pour une cheville douloureuse 6 à 12 mois avant la première poussée, puis d'autres piqûres sur les bras et les jambes avant la seconde. L'acupuncteur la soignait depuis bien plus longtemps mais avait adopté depuis peu des aiguilles gainées de silicone. L'éruption a régressé lentement après une corticothérapie locale forte ; elle n'a pas récidivé depuis que ce praticien emploie à nouveau des aiguilles non gainées. La présence de silicone dans la peau n'a pas été formellement prouvée dans ce cas, mais l'avait été par étude de la dispersion des RX dans une observation antérieure (Chun SI, Cho SW. Silica granuloma: scanning electron microscopy and energy dispersive X-ray microanalysis. J Dermatol. 1991 Feb;18(2):92-6.). La latence de ces réactions peut être longue (20 ans dans le cas de Chun), et la vogue actuelle de l'acupuncture donnera peut-être lieu dans quelques années à une épidémie retardée de granulomes silicotiques cutanés. Certains instruments chirurgicaux étant actuellement eux aussi gainés de silicone, on peut d'ailleurs se poser la question d'un risque plus

Je viens de lire un site qui parle des implants de silicone et des conséquences et je suis surprise de lire ceci :

http://www.infoscience.fr/dossier/biomateriaux/biomateriaux3.html

• Les préjudices de la silicone  

• Les premières applications esthétiques réalisées sans protection imperméable révélèrent la grande capacité migratoire des silicones. Des fabricants commercialisèrent alors dans les années 1960 des poches présumées hermétiques pour enfermer les silicones. Les ruptures et les fuites fréquentes trahirent cependant leur porosité et la toxicité des implants de silicone ; cette dernière passe à travers la poche et agresse les défenses naturelles (pour preuve, des lymphocytes porteurs d’antigènes anti-silicones furent trouvés chez les femmes implantées). Entre 1962 et 1992, ces femmes connurent des réactions immunitaires telle que la sclérodermie mais également des syndromes arthritiques et d’autres affections auto-immunitaires.
  La silicone représente la faille des biomatériaux : la multitude et la nouveauté des techniques et des matériaux proposés privent les médecins d’élément de comparaison et de connaissance sur les effets à long terme. Et pour le domaine des prothèses esthétiques, la dimension commerciale doit faire redoubler de prudence les clients potentiels.

Je suis surtout surprise justement par "des réactions d'arthrite". 

Je laisse à chacun tirer sa conclusion. 

Aujourd'hui 7 novembre 2006, j'ai encore lu un peu le Web et je suis tombée sur : http://www.info-implants.com/buts.html   : un site qui parle des implants toxiques et cela me semble très affolant.

J'ai trouvé un autre site où l'on dit que l'on a fait un arrangement pour que la silicone ne se répande plus - mais on n'a jamais dit qu'elle n'était pas dangereuse :  http://octesia.net/chirurgie-esthetique/silhouette/023-chirurgie-du-sein-protheses-mammaires-en-silicone.php    et donc ? 

Extrait de ce site:  "En effet, un petit nombre de femmes ayant bénéficié d'une augmentation mammaire par prothèse en gel de silicone présentèrent des signes cliniques tels qu'une profonde fatigue, des douleurs voire des destructions articulaires et toutes les complications parfois graves de ces maladies et qui sont les conséquences de la présence d'anticorps dirigés contre leur propre organisme. Les prothèses en gel de silicone furent alors immédiatement interdites aux États-Unis, ainsi que dans la plupart des pays européens, y compris en France." 

Octobre 2006 : autorisation au Canada de ré-introduire les implants mamaires en silicone : http://www.hc-sc.gc.ca/ahc-asc/media/nr-cp/2006/2006_103bk1_f.html  sous certaines conditions.